Les dernières actus de Quai des rêves

  • Artiste de music-hall par excellence, Raymond Devos était avant tout un homme de scène. C’est sur les planches que se déployaient son génie du verbe, son plaisir de la langue relevés par une touche de poésie propre à émouvoir autant qu’à faire rire. C’est avec beaucoup de gourmandise que François Morel se glisse dans les textes de ce grand humoriste.

    Accompagné d’un pianiste, il enchaîne numéros et tours de chant en y apportant sa touche burlesque et toute sa tendre fantaisie. Se glisser dans les pantoufles d’un autre n’est jamais facile. Pourtant, aucun doute, le pari est réussi.

  • La presse en parle
  • « François Morel semble aux anges alors qu’il met ses pas dans ceux de l’une de ses idoles. Nous aussi. Parenthèse enchanteresse, hymne à l’humour, ce spectacle file à toute allure. […] Dans une mise en scène toute en sobriété et délicatesse, le comédien et son pianiste nous font (re)découvrir les jeux de mots et la dérision irrésistible de Raymond Devos. Les "anciens" seront ravis, et les plus jeunes sans doute étonnés par ce phrasé unique qui fait rire et gamberger. » Le Monde

    « Parler pour ne rien dire ; Où courent-ils ? ; Le Clou, la scie ; Sens dessus dessous ; Je zappe ; et le fameux J’ai des doutes – qui donne le titre du spectacle – sont, parmi d’autres, revisités avec subtilité, sans jamais chercher l’imitation mais en révélant la profondeur des textes.» Le Monde

    « Une réussite due à l’alchimie parfaite entre l’absurdité poétique de Raymond Devos et la sensibilité lunaire d’un François Morel capable de réinventer des sketchs aussi connus que Le Plaisir des sens, Caen, Mon chien, c’est quelqu’un… » Télérama

    « Devos parle de nous, encore et toujours. La réalité est tordue, eh bien tordons-la pour mieux l'observer. Morel nous en fait la démonstration, y ajoutant sa patte. Ses mimiques et sa gestuelle, sa géniale gaucherie, il y a, à jamais, ce Deschiens en lui. […]  pas de doute, on adore. » Le Parisien

    « Si vous trouvez Devos changé, ne soyez pas étonné. Depuis son attaque cérébrale, il a maigri et grandi. Mais il a gardé son nœud papillon, sa rhétorique fabuleuse, son imparable logique et cette manière, unique, de pousser la raison jusqu’aux confins de l’absurde. » L’Obs

  • Distribution
  • Spectacle de et avec François Morel
    Textes Raymond Devos
    Avec Antoine Sahler ou Romain Lemire
    Musique : Antoine Sahler
    Assistant à la mise en scène : Romain Lemire
    Lumières : Alain Paradis
    Son : Camille Urvoy
    Costumes : Elisa Ingrassia
    Poursuite : Françoise Chapero ou Madeleine Loiseau
    Conception, fabrication et mise en jeu des marionnettes : Johanna Ehlert et Matthieu Siefridt / Blick Théâtre
    Direction technique : Denis Melchers
    Archives sonores : INA (Radioscopie 1975)

    Crédit photo : Manuelle Toussaint

  • Coproduction et soutien
  • Remerciements : Didier Gustin, Tullia Morand et la Fondation Raymond Devos (Maison-musée Raymond Devos à Saint-Rémy-lès-Chevreuse ) // Affiche : Pascal Rabaté (visuel) et Frédéric Méi (graphisme) // Production Commande de Jeanine Roze Production pour les Concerts du Dimanche Matin // Les Productions  de l’Explorateur, Châteauvallon, Scène nationale, La Coursive, Scène Nationale de la Rochelle, La Manekine, scène intermédiaire des Hauts-de-France

  • Mentions légales
  • Remerciements : Didier Gustin, Tullia Morand et la Fondation Raymond Devos (Maison-musée Raymond Devos à Saint-Rémy-lès-Chevreuse ) // Affiche : Pascal Rabaté (visuel) et Frédéric Méi (graphisme) // Production Commande de Jeanine Roze Production pour les Concerts du Dimanche Matin // Les Productions  de l’Explorateur, Châteauvallon, Scène nationale, La Coursive, Scène Nationale de la Rochelle, La Manekine, scène intermédiaire des Hauts-de-France

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