Le syndrome du banc de touche c’est un drôle de parallèle entre des footballeurs remplaçants devenus champions du monde sans avoir mis un pied sur le terrain, et le quotidien d’une comédienne en attente de rôle.
Véritable hymne à la persévérance, Léa Girardet prend son courage à deux mains, et nous livre une causerie d’avant match aussi drôle que stimulante en transposant le modèle d’un Aimé Jacquet critiqué, décrié puis finalement adulé. Saura-t-elle décrocher son étoile comme le sélectionneur de l’équipe de France 98 ?
« L’énergie, l’humour, la rage et la tendresse sont au rendez-vous du spectacle […] et qui montre que, oui, tout espoir n’est jamais perdu. Le sourire radieux et ému de la comédienne aux saluts en témoigne. » Le Monde
« Ce spectacle court, où elle dit mine de rien beaucoup sur ce métier parfois ingrat qu’est celui de l’actrice, c’est le sien. Il est radieux comme une renaissance. » Télérama
« Drôle, pinçant, dynamique, son monologue fuit la récrimination […] Sa traversée du désert parle de théâtre, de foot et de tous ceux qui un jour se confrontent à l’échec, relèvent la tête, s’inventent une autre vie. » Télérama
« D’une blessure d’ego à l’amour du sport, elle signe un spectacle qui frappe par sa simplicité et sa franchise. » Le Figaro
« L'audace, la persévérance et l'intelligence pour surmonter les moments de fébrilité. Léa Girardet n'attendra pas d'être sélectionnée par un metteur en scène pour enfin entrer sur le terrain. En refusant d'abandonner ses rêves de succès habilement chorégraphiés, elle irradie. Un joli pied de nez à tous ceux qui la voyaient pour toujours sur le banc de touche. » France Info
« Voilà un seul en scène qui donne envie de transformer nos frustrations et échecs personnels en énergie positive et en matière créatrice. » Le Parisien
« On salue la performance de la comédienne, physiquement engagée dans ce marathon de rôles à l’humour éclatant. » Ouest France
De et avec Léa Girardet
Mise en scène : Julie Bertin
Collaboratrice artistique : Gaia Singer
Avec la participation de Robin Causse
Regard chorégraphique : Bastien Lefèvre, Jean Marc Hoolbecq
Son : Lucas Lelièvre
Lumière : Thomas Costerg
Costumes : Floriane Gaudin
Vidéo : Pierre Nouvel
Texte paru aux Éditions Koinè
Crédit photo : Louis Barsiat
Production : FAB, ACME, LE GRAND CHELEM // Partenaires : Théâtre Paris-Villette, Théâtre de Belleville, Festival Mises en capsules, Le point Ephémère, Festival La lucarne, So Foot, Tatane
Production : FAB, ACME, LE GRAND CHELEM // Partenaires : Théâtre Paris-Villette, Théâtre de Belleville, Festival Mises en capsules, Le point Ephémère, Festival La lucarne, So Foot, Tatane